Outre sa capacité à tenir le rythme de la gavotte  (vous le retrouverez au violon pour le feu de la St Jean le 22 juin prochain), Michel est aussi maître de l'alliage de cuivre et d'étain qu'il fond et refond en éternelles expériences culminant au  point d'orgue, après une nuit de cuisson des moules en plâtre :    la fameuse coulée du bronze, chargée de tension et d'adrénaline,  d'où sortent ces pièces parfois ésotériques. Le végétal accompagnant les gros plans est une racine de radis, aucun rapport.