les saisons se suivent et se ressemblent. Après 15 jours de scooter sous les tropiques, je retrouve la moiteur d'un octobre quimpérois parti humide puis  séchant sous un soleil faiblard. L'hiver est propice aux brumes en toutes heures, l'automne  n'est pas moins spectaculaire lorsque quelques rayons viennent évaporer la rosée des vallées quimpéroises.