alors qu'à la fin des années 80 les derniers modèles de 2CV sortaient des usines portugaises de citroën, nous découvrions à 20 ans les joies de l'amortissement à grand débattement, sa tenue de route exemplaire, sa faible accélération, sa vitesse maximale dépassant les 100 km/h en descente, bref la voiture idéale pour commencer à conduire sans danger. Aujourd'hui les constructeurs de voitures françaises sont en crise, peut être de n'avoir su renouveler cette légende à qui n'importe quel bricoleur de campagne pouvait rendre vie. Et tandis qu'auourd'hui sur les bagnoles modernes nos bourses embourgeoisées s'esquintent à grand frais à changer courroies de distribution (jamais touché à ça sur mes 2CV), radiateurs à eau (la deuche refroidissait à l'air), et autres pacotilles qui tombent en panne (l'électronique), on cultive la nostalgie de ce modèle pas cher qui a connu de multiples déclinaisons comme les ami 6 et 8, mais qu'on retrouve aujourd'hui difficilement en dehors des défilés de vieilles mécaniques, bardées de signes d'appartenance à tel club de passionnés que le photographe aura bien du mal à éviter.
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